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 Poème satirique sur Bertrand Delanoe

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AuteurMessage
zubule
Mes doigt surchauffe !
zubule


Messages : 634
Date d'inscription : 11/01/2011
Localisation : Terre Adélie

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MessageSujet: Poème satirique sur Bertrand Delanoe   Poème satirique sur Bertrand Delanoe Icon_minitimeSam 9 Juil - 15:34

Monsieur Delanoë, Messire, votre Altesse,
Votre Excellence, Monsieur le Maire de Paris,

Les réponses que vous faites, en dépit des promesses,
Aux questions qui vous viennent, sont empreintes de mépris.

Si leur origine est un arrondissement

Où, en majorité, le vote se porte à droite,

Soit vous ne répondez, sans même perdre un moment,

Sinon juste d'une phrase qui la question n'exploite.

C'est pourquoi aujourd'hui, sans négliger le fond,

D'une forme particulière, je couche sur papier,

Avec une plume neuve, l'objet d'une question,

Espérant par là même, que vous y répondrez.



Les grands bacs collectifs, ceux aux couvercles blancs,

Qui servent au recyclage du verre normalement,

Font tant et tant de bruit que tous les Parisiens

Les délaissent, les ignorent, et n'y mettent plus rien !

C'est dans les cours d'immeubles qu'est leur place habituelle,

Où chaque bruit résonne en mode exponentiel,

Et plus monte le bruit, moins on s'en servira

Pour ne point réveiller ceux qui habitent là.

Ma question est fort simple : pouvez-vous mandater

Ingénieurs, techniciens, experts, point n'en manquez,

Et ceux du fournisseur de ces bacs à roulettes,

Pour qu'enfin et sans gêne, tout le verre s'y jette ?



Nous restons bien sceptiques sur votre volonté

Puisqu'une saine gestion n'est pas votre objectif,

Mais vous mettre en avant, créant l' "urbiquité"

Peu importe l'objet même s'il est fictif.

Ce que vous rabâchez, les esprits le subissent,

A force de l'entendre on peut le croire fait,

Vos forces fanfaronnent, résonnent, mais point n'agissent,

L'illusion par le verbe, vous visez cet effet.

Où partent les finances, cela ne se voit point ;

En communication, c'est plus trente cinq pour-cent

Et sans compter la dîme prise aux trente-deux adjoints,

L'hexagone, votre but, exige un tout puissant.



Mensonge par addition, plus c'est gros mieux ça passe ;

Lundi dans le douzième, vous dîtes sans grimace

Pour la culture locale et son animation,

Un euro par péquin : décentralisation.

Mardi dans le treizième, vous ajoutez la suite,

Là aussi un euro pour réparer les fuites

Et les travaux d'urgence à gérer localement.

L'euro du mercredi, pour les arrondissements

Ira pour les journaux et autres actions d'info.

En synthèse vous dites donner tout ce qu'il faut ;

Au final cependant, un seul euro versé ;

Chez les illusionnistes, vous êtes couronné.



Pour vous, le Parisien par devoir est tendance.

Point d'enfant, c'est moderne ; un seul, est toléré.

Votre vae victis, exit la tolérance,

S'adresse aux familles qui ont choisi d'enfanter.

La carte "Paris-Famille", nom maudit : à la Seine.

Pour les appartements, deux chambres est suffisant,

Vous poussez à l'exode, en banlieue incertaine ;

Les familles à enfants, vulgaires opposants.

Ils ne feront plus tâche, dans l'ambiance générale

D'un gai "Paris sur Fête". Vous n'êtes point Jacob,

Patriarche fondateur, mais destructeur partial ;

Ce travers vous révèle, vous êtes pédophobe.



Illusionniste, vous l'êtes aussi sur le logement,

Au contraire de vos belles paroles, évidemment ;

A l'année il en sort de terre deux et demi

Fois moins que n'en faisaient Chirac et Tiberi.

Point bâtissez, rien ne créez, mais achetez ;

Les Parisiens qui louent ce jour, vous les chassez

Pour ceux qui sont dans vos fichiers laisser la place ;

Sur les impôts pour financer vous faîtes main basse.

L'effet pervers de votre auto satisfecit,

Si stagne l'offre, croît la demande d'un bon gîte.

D'un côté, le jeu des spéculateurs vous faîtes,

De l'autre, vous étatisez façon soviet.



Que dire de "Paris-Plage", vous la sanctuarisez

Nulle critique vous ne souffrez, belle danseuse !

Le budget com pourra la survaloriser,

Que nul n'ignore les beaux atours de nos baigneuses.

Vous prenez soin d'escamoter qu'avant vos frasques,

La fête annuelle de la Seine, au budget com

Dix fois moindre, ne se voulait une bourrasque.

La Région pour s'y associer donne une somme ;

Vous refusez, il ne faut point, la tête d'affiche

Et les media, avec Huchon les partager ;

Les Parisiens payeront plutôt que cette potiche

Pour la plage où les franciliens vont patauger.



Le bilan du mandat, piétinant les promesses,

Est moins louable que "Paris vaut bien une messe".

Il est comme les bambous transformant Rivoli,

Vous en parliez partout, cloné comme Dolly,

Vous juriez qu'ils tiendraient ; ils sont morts dans le mois.

Tout est à l'avenant du moment qu'on vous voie,

Le vingt-heures, France-Info, servent vos ambitions :

Solferino, l'Elysée, c'est votre vision,

Les actes comptent peu, ce n'est que secondaire.

Copperfield, Garcimore, pas besoin de primaires,

A "illusionist-land", plus sûrement qu'en France,

Sans rival vous iriez jusqu'à la Présidence.

Vincent Salette
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